La Russie et la Chine partagent une frontière extrêmement longue. Elles sont engagées dans un « partenariat stratégique global » complexe et multidimensionnel.
Le Venezuela est plongé dans une crise économique profonde, due en grande partie aux sanctions imposées par les USA. Ce que la Russie (et la Chine) peuvent et doivent faire est de soutenir le Venezuela par le commerce et les investissements (ce qu’ils font peut-être déjà.)
Stoltenberg, attribuant à la Russie “l’idée très périlleuse de conflits nucléaires limités”, lance enfin cet avertissement grotesque : “Toutes les armes atomiques sont dangereuses, mais celles qui peuvent abaisser le seuil pour leur usage le sont particulièrement”.