Plutôt qu’écouter les sénateurs, plusieurs députés et bon nombre d’ONG, le gouvernement a donc une nouvelle fois décidé d’utiliser l’aubaine que constitue l’augmentation du produit de la fiscalité écologique pour financer les cadeaux fiscaux accordés aux plus riches et aux multinationales. La rénovation des logements insalubres, la transition écologique et la lutte contre la précarité énergétique devront encore patienter.