Paris, 5 décembre 2023 : Rencontre avec Antonio Beltrán Hernández et les éditions The Glocal Workshop

Venez découvrir un auteur véritablement glocal !

Mexicain né en Espagne (1954) et vivant entre Paris et Mexico, Antonio Beltrán Hernández est un passionné des sciences, mais il n’est pas scientifique, il est licencié en histoire, mais il n’est pas historien, il est un adorateur des langues, mais il n’est pas linguiste, il est sorti de l’IDHEC, mais sa carrière de directeur de la photographie de cinéma connaît des petits hauts et des grands bas. Il a coutume de transformer ses scénarios de films en essais et en romans, ses réalisateurs n’ayant pas trouvé de financement.

Nous présenterons et vendrons ses œuvres parues à ce jour : L’Empire de la Liberté (essai sur les USA, en français, espagnol et arabe), Il était une fois…l’Empire de l’Égalité (hommage à l’URSS à l’occasion de son centenaire, en français et espagnol), La Vallée de larmes (roman inspiré par la tragédie du Chili, en français et espagnol), Talimambo Number Five (nouvelle graphique sur un rescapé du goulag de Guantánamo, à Cuba, en français, espagnol, arabe et anglais). La fin de l’Histoire (roman situé à Mexico, en français et bientôt en espagnol). Les participants à la conférence recevront en cadeau le texte d’un scénario de documentaire inédit, La sœur jumelle de la cuisine française, une œuvre savoureuse sur la cuisine mexicaine (en français).

Antonio Beltrán Hernández n’a jamais été un militant politique. Sa première passion était la science-fiction. Il vivait dans la Lune et au-delà, il collectionnait toutes les coupures de journaux concernant la conquête de l’espace. Il apprit l’alphabet cyrillique en déchiffrant les noms des cosmonautes, dans un livre en édition quadrilingue, « Космонавт и его родина-Le cosmonaute et sa patrie », pendant sa première adolescence il croyait que le monde finirait dans une conflagration nucléaire, et sa vocation définitive, le cinéma, lui fut inoculée par « 2001, l’odyssée de l’espace ».

Cependant, quelque chose changea en lui lorsqu’il lut la préface de Sartre à « Les Damnés de la Terre » de Frantz Fanon (…en le premier temps de la révolte, il faut tuer – abattre un Européen c’est faire d’une pierre deux coups, supprimer en même temps un oppresseur et un opprimé : restent un homme mort et un homme libre). Puis « Cent ans de solitude » lui fit redécouvrir, par sa magie, l’univers de son Amérique. Et Borges le transporta au-delà de l’infini.

Venez découvrir un auteur véritablement glocal (= global+local) !

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